Les italiens sont une des rares vagues migratoires qui ont changé le paysage urbain : étant maçons, ils ont littéralement « (re) construit » la France d’après-guerre et souvent se sont construits leurs propres maisons. Exemple, Argenteuil : on reconnaît les maisons « italiennes » par
- le balcon vers la rue (alors que le français l’ont derrière, positionnement privé alors que les italiens ont tendance à se positionner dans l’espace publique)
- l’architecture : petites maison parce que le lotissements qu’ils achetaient (ou qui leur étaient donnés) étaient petit, dans un 2e temps il rajoutaient un étage (plan du cadastre Argenteuil).
- Le jardins : végétation méditerranéenne (Cesarina Tomei, Belgique)
- Eléments de décors : la grille, le muret, les couleurs
Présence d’une « cabane » dans le jardin, parfois utilisé comme atelier, surtout dans les maisons des artisans ou des petits entrepreneurs : maison à Drancy de Simone Iemmi Cheneau, cabannon avec un toit liberty qui est typique du quartier Santa Croce (Reggiane) de Reggio Emilia (Antonio Canovi).